Ce matin, après un mois d’arrêt, je descends à Cens, petit village de la commune de Tenneville.
Ce n’est pas très loin, cela ne me coûtera pas trop d’es-sence.
Suis pas radin, mais en cette période de plus en plus difficile pour beaucoup de gens, y’a pas de petites économies.
J’arrive sur place à 07:30.
Le local de départ est encore fermé, je patiente donc gentiment avec d’autres marcheurs en attente du ticket permettant le départ.
Quelques instants plus tard, cette formalité est accomplie. Pour le kaoua matinal, on fera… sans !
Parcours en 8 (deux boucles) en commençant dans le sens des aiguilles d’une vieille horloge. Bin oui, les montres c’est plus ce que c’était !
20 km, c’est une Adeps.
Premier souci après un km ou deux, je me rends compte que oublié mon chapeau ! 
Heureusement que j’ai pensé à prendre ma crème solaire, car le soleil est déjà bien présent sur cette première partie du parcours. Ok , elle est périmée depuis un bon moment, mais j’espère que cela ira encore pour aujourd’hui.
Manque de pot, à la première photo,  je m’aperçois que j’en suis déjà au deuxième souci.  Je n’ai pas replacé la carte mémoire dans l’appareil après avoir téléchargé les photos de ma dernière marche.
Ca, c’est nettement plus problématique ! J’ai quand même 0,005 K amis FB qui attendent impatiemment mes petits reportages et surtout les photos des magnifiques paysages rencontrés en chemin. On se contentera de quelques-unes prises avec mon « téléphone ».
Après le passage de l’Ourthe occidentale (bin oui, y’a aussi l’orientale, peut-être nommée ainsi pour faire plaisir à Enrico) on remonte vers Roumont
Bon, vu les problèmes, et pour ne pas donner raison à la vielle expression du XIIIe siècle « Jamais deux sans trois » (si, si, vous pouvez vérifier), je décide de passer au plan B : le parcours des 10 km qui m’évitera de cramer trop longtemps sous ce soleil estival. Je me promets de revenir plus tard dans la semaine pour refaire le parcours en entier. Cela me fera donc un entrainement « progressif » avant la M.E.S.A.
Fin de parcours sans autre problème !
Bravo Hughes, le plan B, c’était très intelligemment pensé. 🙂
Bon, je plaisante, mais je crois que j’ai pris la bonne décision. C’est souvent lorsqu’on prend des risques, par manque de préparation, qu’on le regrette par la suite.
J’arrive tôt (il est 10:00), mais sans bobos ! C’est ce qu’il faut ! A l’arrivée, je me paie un coco… euh… un coca.
La suite, bin, pas lundi parce que je suis de corvée fauchage des hautes herbes de la vallée du ruisseau, mais probablement mardi ou mercredi.
A plus les amis.