Pfff ! Y’en a marre de ce foutu changement d’heure !
Aller se coucher tôt pour dire de rattraper un peu l’heure de sommeil perdue, ne pas savoir s’endormir parce que c’est trop tôt, se réveiller bien trop tôt pour se lever, se rendormir et finir par se lever presque trop tard… Y’en a vraiment marre. Qu’ils prennent une décision une fois pour toutes, et la bonne tant qu’on y est !
Du coup, une tasse de café et un yaourt aux fruits feront office de petit déjeuner.
J’avais prévu le coup et mes affaires sont prêtes depuis la veille. Cela devrait aller, même si je sais par expérience que ce n’est jamais bon signe de commencer la journée en râlant !
Ce matin je participe à une Adeps à SAINT-HUBERT.

Le lieu de départ est l’aérodrome et plus précisément les locaux du Syndicat d’Initiative qui gère les pistes de ski de fond.
Inscription, café… Vous connaissez le rituel matinal.



Il est 08:15 lorsque je me mets en route. Pas encore beaucoup de monde, mais le personnel s’active !
Le soleil étant prévu pour toute la journée je me suis contenté d’une tenue légère ce matin.
Grossière erreur Hughes !
On démarre par un chemin ensoleillé et on arrive un peu plus loin sur une partie bien à l’ombre et franchement fraîche ! Pas de chance.




Une grande partie de l’itinéraire se déroule dans la forêt de Freyr : Freyr, Freyr Septentrional, Laneuville-au-Bois, Freyr Méridional, Freyr Royal et retour au point de départ.








Le coup de gueule du jour (bin oui, je vous ai dit que le réveil avait été difficile !) sera une fois de plus pour ces enfoirés de cyclos qui se croient partout chez eux. Il y a des panneaux « Propriété privée », d’interdiction aux cyclistes, aux piétons, mais non il faut quand même qu’ils passent à travers tout comme s’ils étaient chez eux !
Pas de chance, un garde en croise quelques-uns, les arrête et les sermonne !
« Excusez-nous, m’sieur, on s’est trompé ! On n’a pas vu le panneau ! On ne le fera plus ! »
Ils raconteront les mêmes excuses à chaque fois qu’ils seront arrêtés et continueront à causer des dégâts et désagréments.
Ce qui m’énerve, c’est qu’à cause du comportement de ces irrespectueux, un jour les propriétaires en auront marre de nous accorder des autorisations exceptionnelles et qu’alors, plus personne ne pourra y circuler !
Enfin, comme disait ma grand’mère : « On ne peut pas en mettre là où y’a pas la place ! »
A l’arrivée, une petite bière de circonstance s’impose : une excellente St-Hubertus blonde !



